*** Le sujet est devenu trop long. Conséquemment, le reste de la description de bataille s'effectuera ici.
1186
Revers massif des chrétiens en cette trente-troisième année de guerre. Une contre-attaque massue des Fatimides (Troupes africaines fraîches ayant récemment joint le front) a permi non seulement de mettre fin au siège de Naples, mais de repousser le front jusqu'à Rome. Un recul si brutal chez les chrétiens a bien sur déstabilisé leur organisation, et les musulmans s'en voient momentanément avantagés. Les Fatimides reprendront-ils cependant le contrôle de la région à long terme? C'est l'incertitude.
1187
Des renforts Fatimides continuent d'affluer en direction de l'Italie. C'est le dernier espoir des musulmans d'une victoire à la sauvette en territoire Européen. Rome est de nouveau menacée d'un siège, alors que les Marches Italiennes retombent sous occupation Musulmane face au raz-de-marée de troupes fraîches des Fatimides. Les armées et milices chrétiennes voient leur approvisionnement et organisation devenir de plus en plus incertains.
1188
Le front se stabilise après les grands mouvements des dernières années. Rome évitera, pour le moment, un énième siège. Les territoires Napolitains, après le passage de ces rapides changements de front, se retrouve dans la même situation que les Marches et la Toscane, complètement détruits. Les batailles demeurent intenses et c'est maintenant les musulmans qui expérimentent des problèmes d'approvisionnement.
1189
Le front continue dans sa stabilité. Un enlisement est à éviter, vu que déjà l'usure de trente années de guerre cause des séquelles irréparables aux deux armées adverse et au territoire étant l'enjeu de cette guerre dont plusieurs ont déjà oublier la cause et le commencement. Le front se maintiens, de manière linéaire, exactement entre Rome et Naples, en plein territoire de Salerne.
1190
37 ans de guerre. C'est le temps que les chrétiens ont mené des combats contre les puissants Fatimides, avant que ceux-ci ne se retirent. L'Italie redevient donc en son entier possession Catholique, et cette seconde victoire chrétienne après l'Ibérie et les terres Franques reprises marque la fin de la puissance incontestable des musulmans en Europe. Dans les Balkans, les combats continuent, c'est désormais là le point chaud à surveiller. C'est une Italie détruite qui célèbre la paix en ce moment.