Révoltes Italiennes (1153-1190)

1153

Sachant que les musulmans avaient affirmer désirer reprendre le contrôle des enclaves chrétiennes en Italie à cause de l'intrusion Bohêmienne en terres musulmanes, les populations catholiques d'Italie n'ont eu que protestation en guise de réponse. D'hors et déjà, l'Italie a sombré dans l'anarchie la plus complète et la colère envers les musulmans est à son paroxysme. Les Fatimides ont perdu tout contact avec l'Italie, et les ordres ne se rendent plus aux armées prises par surprises. Jusqu'à présent, aucune ville chrétiennes Italiennes n'a été reprise par les musulmans.

1154

La tension monte en Italie. L'annonce que les Fatimides n'hésiteraient pas à tuer les récalcitrant a davantage choqué la population, qui en guise de réponse supporte encore plus les rébellions, au risque de leur vie. Au nord du Pô, le chaos reigne toujours, alors que les Fatimides ont repris contrôle des régions de Tarante et de Spolète. Entre ces deux régions, les groupes rebelles combattent les restes d'une armée Fatimide désorganisée et confuse. Au nord de l'Italie, les groupes armées Fatimides isolés, confus, ayant perdu tout contact avec l'extérieur, sont victimes d'encerclement et tous les soldats sont tués, leurs armes volées. Aucune ville Italienne catholique n'est en danger, excepté Naples, qui actuellement voit sa situation fortement troublée (Les rebelles et les fatimides s'affrontent pour le contrôle de la ville). Des troupes Fatimides débarqueront dès l'an prochain en Toscane. Massacres au Bénévent.

1155

Au nord de l'Italie, des petits duchés indépendants se constituent les uns après les autres. La situation anarchique qui reigne dans cette région contraste avec la Provence voisione, où reigne un calme plat. Les Fatimides continuent de progresser en territoires Napolitaines, Urbino serait même menacé, les combats font rage près de Rome. Naples est toujours disputée. Combats maritimes près de la Toscane, où les rebelles tentent d'empêcher les débarquement Fatimide, ce qu'ils font avec difficulté. Inévitablement, quelques enclaves musulmanes se sont formées sur le littoral Toscan, mais elles seront surement éphémère vu la mobilisation de la population locale. Exode musulman vers la Sicile.

1156

Constitution d'un front instable, qui suit la limite de Salerne vers le centre de l'Italie jusqu'à Urbino. C'est de là que les troupes Fatimides lancent leurs assauts vers les territoires révoltés, alors que les territoires Napolitaines de retour sous leur contrôle baignent encore dans l'instabilité. Les combats sont majeurs, et les morts se comptent par dizaines de milliers. Le Pô, fleuve Italien, risque de devenir une zone de retranchement pour les Italien. Incertitude en Toscane, et la menace pèse sur Rome. Plus de 50.000 soldats Fatimides venant d'Afrique ont débarqué dans la région de Reggio di Calabre.

1157

Les Fatimides sont limités au nord sur le Pô. Assauts sur Naples, la ville tombe et les rebelles sont éliminés, la prochaine cible sera Rome. Répressions sévères dans le Spolète des éléments perturbateurs. En Toscane, les Fatimides réussissent à établir une base convaincante, tandis que les musulmans se rapprochent de Rome, vu un essouflement des rébellions dans ce qui était formellement les États Papaux.

1158

Les Fatimides stoppent leurs avances au Centre de l'Italie, souffrant de problèmes internes. Cela n'empêche pas des répressions à Naples, et le début du siège de Rome, ainsi que des percées en Toscane, permettant aux musulmans de pouvoir espérer de nouveau le nord de l'Italie. Jusqu'à présent, au-delà de 300.000 catholiques ont été sommairement exécutés pour avoir participé aux rébellions.

1159

Rome est complètement encerclée, et est victime d'un siège constant. Le pape est prisonnié de la ville. Au nord, jusqu'en Toscane, c'est une zone instable où les Fatimides assurent un contrôle irrégulier, ce qui est preuve d'une bonne avance des musulmans dans cette région. Le Pô continue de les limiter au nord. Nombre d'Italiens de Toscane et des États Papaux fuient vers le nord de l'Italie.

1160

Le siège de Rome se poursuit, grâce au support de rebelles en périphérie de la ville assiégée, et grâce au relâchement périodique des attaques perpétrées par les Fatimides. Enlisement au nord, ni les Fatimides ni les rebelles ne sont en progressions. Des états clairement indépendant s'instaurent dans le nord du pays. La région de Naples est stabilisées, et les vives opressions Fatimides se poursuivent.

1161

Rome profite du relâchement des troupes Fatimides pour désserrer l'étau qui faisait suffoquer la ville depuis les dernières années. Ceci permis la fuite du pape et des hauts membres de l'Église vers la Toscane. Les combats s'intensifient en Romagne, alors que les troupes Fatimides traversent le Pô. La menace pèse sur la Toscane et la Sardaigne.

1162

Attaques massives sur Rome, la Toscane et la Romagne, les avancées sont tout particulièrement plus majeures en Toscane. Rome n'est désormais reliée à la Toscane que par une petite bande maritime en plein chaos. Suite à ce regain des violences, nombreux sont les chrétiens fuyant de nouveau vers le nord. Massacres en Romagne, agitations à Naples.

1163

Dixième année des révoltes. Les pertes totales des Fatimides sont inconmensurables, ils ont été en bref privés de leur coeur économique qui était l'Italie du nord. Rome est en danger, la perte est presque inévitable, les combats font rage et les milices manquent à l'appel. La Toscane et la Romagne éprouvent des difficultés à repousser les Fatimides. Révoltes au Spolète, région napolitaine sous occupation Fatimide.

1164

Rome est sous contrôle Fatimide. La ville est brûlée et pillée, mais heureusement pour le catholicisime, les oeuvres d'art et patrimoine religieux ont pu être sauvés dans les années précédent la enième invasion de Rome. Stabilité en Romagne. Déconfiture en Toscane, les Fatimides réussissent à occuper plus de la moitié du territoire. Batailles maritimes entre pêcheurs et la marine Fatimide au large de la Sardaigne et de la Corse.

1165

Après une douzaine d'années de violence, la situation ne semble toujours pas prête de se résorbée. Insurrection à Rome. Stabilité en Toscane, les troupes Fatimides forcées de combattre les rebelles des Marches, territoire sous leur contrôle et stable jusqu'à cette année. Les conflits s'accentuent du côté maritime entre Gênes et Rome. Les combats reprennent en Romagne.

1166

Rome est de retour sous contrôle rebelle, mais la situation ne saura durer, la ville est encerclée, coupée d'approvisionnement, et constamment bombarder par les trébuchets postées dans les environs. En Toscane, les chrétiens réussissent à freiner l'avancée Fatimide, à coups de milices et d'embûches semées sur le territoire. Situation stable en Romagne.

1167

Rome retombe sous contrôle Fatimide, et la ville est complètement brûlée et ses habitants massacrés pour éviter que celle-ci retombe aux mains des rebelles. Les efforts musulmans étant principalement dirigés vers Rome, un recul est à constaté tant qu'en Toscane qu'en Romagne. Combats maritimes au large de la Corse et de la Sardaigne.

1168

Voilà quinze ans que les révoltes Italiennes ont eu lieu et que la riposte Fatimide se poursuit. Rome est assiégée par les milices catholiques, massivement massés près de la ville, alors que les troupes Fatimides, presque aussi nombreuses, gardent la ville. Les Fatimides se replient derrière le Pô, et resserrent leur occupation des régions rurales du centre de l'Italie en Toscane.

1169

Les Fatimides ont de la difficulté à administer leur force de frappe en Italie. La population Napolitaine continuant ses agitations, les Fatimides continuent leur inexorable recul malgré l'aide express des Seldjoukide dans le Spolète. Rome aux mains des catholiques. La Sardaigne est à moitié occupée par les musulmans. Les Fatimides ont de la difficulté à maintenir loyaux ses vassaux en Italie, qui risquent à tout moment de faire sécession.

1170

Rome est de nouveau assiégée par les musulmans. Les chrétiens se reprennent en main en Sardaigne. Les Seldjoukides affrontent des rebelles napolitains dans le Spolète, ce qui permet aux Fatimdes de centrer leurs efforts sur le front, front qui demeure stable. Le nombre de milices chrétiennes dépasserait le 300.000, ce qui risque de causer des problèmes d'approvisionnement dans un futur proche.

1171

Rome tient le coup, suite à un support monétaire express d'ordres chrétiens. En contrepartie, les Italiens ont du grandement reculer, leurs récentes avancées réduites à néant, les Fatimides réatteignant le Pô. Les Seldjoukides tentent de mettre fin à une insurrection en cours dans la ville de Naples. Conversions massives dans le Reggio di Calabre.

1172

Le siège de Rome se poursuit, les chrétiens mettent tous leurs efforts pour la conservation de cette ville, aux dépends des régions rurales du centre de l'Italie, qui retombent aux mains des musulmans. La Romagne et la Toscane redeviennent conséquemment des champs de bataille où les troupes chrétiennes peinent à contenir les avancées musulmanes. Pour la première fois en vingt années de guerre, Pise risque de tomber aux mains des musulmans, signe que la situation est critique.

1173

La guerre vient de dépasser le stade critique des 20 ans. Rares au cour des deux derniers siècles sont les guerres qui ont perduré durant si longtemps. L'usure constatée sur le terrain s'en voit accrue. Malgré leur armée et leur supériorité enviable, les Fatimides peinent à avancer en Italie, alors que la plus grande milice de l'histoire se débat de toutes ses forces. Celle-ci se reforme, se déforme, au gré de Rome passant des mains à celles des autres. Cette année fatidique fut une des rares jusqu'à présent marquée par la stabilité du front.

1174

Rome demeure sous contrôle chrétien, avec un contrôle accru des milices sur la région. Les Fatimides concentrent leurs attaques sur la côte Adriatique et progressent dangereusement en Romagne, les craintes parmi les catholiques se propageant jusqu'à Venise, ville qui avec de telles progressions pourrait être assiégée par les Fatimide très bientôt. En Toscane, les Fatimides semblent réunir leurs forces pour le siège de Pise. Au sud de la Toscane cependant, les chrétiens reprennent de la vigueur.

1175

Venise est hors de danger. Les musulmans reculent en Romagne avec un support accru de la Vénétie aux milices. Pise est cependant dans une situation critique, comme l'ensemble de la Toscane et conséquemment Rome. Des rébellions dans les régions Napolitaines occupent les troupes Seldjoukides, alors que les Fatimides sont en train de gruger les territoires chrétiens du sud de la Toscane, dernier lien vers Rome, et Pise étant le dernier lien vers la Toscane du sud et vers Rome, les tensions montent. Les troupes Helvètes seront sur le front dans 2 ans.

1176

Les Fatimides traversent une période d'instabilité suite aux événements récents étant survenus chez leurs voisins les Almoravides. Cette guerre drainant aussi de nombreuses ressources des Fatimides, l'approvisionnement qu'ils fournissent à leurs nombreuses troupes commence à voir sa qualité réduire. Rome est de nouveau assiégée. Pise subit le même sort. Les Fatimides sont repoussés derrière le Pô. La Toscane est morcelée. Les troupes Helvètes soutiendront Pise assiégée dès l'an prochain.

1177

Rome se maintient sous contrôle catholique. L'Helvétie réussi à retarder la chute de Pise. L'incertitude reigne en Toscane. Contre-attaque Fatimide en Romagne, les musulmans sont de nouveau bloqués au Pô. Les rébellions s'arrêtent en territoire Napolitain, quoique le Spolète demeure une zone de tension. Des renforts musulmans laissent craindre le pire pour les chrétiens dès l'an prochain. En Ligurie arrivent les renforts d'Occitanie, qui aideront dès l'an prochain l'Helvétie à sauver Pise.

1178

Cela fait un quart de siècle que les combats persistent. Cette année, les musulmans auraient pu, en un coup d'éclat, prendre Pise, et, isolant tout ce qui se trouve au sud, faire perdre au chrétiens la moitié de leurs territoires Italiens. Il en fut autrements. Les renforts Helvètes et Occitans ont permi de repousser les Fatimides aux confins de la Toscane, dans le nord du moins. Les troupes Fatimides souffrent de l'usure, les renforts du long voyage qui les a menés jusqu'en Italie. Les Fatimides tentent une tactique d'encerclement de Rome, qui a échoué cette année. Le pape serait actuellement caché en Romagne, région où les musulmans ont fait de bonnes avancées cette année.

1179

Les chrétiens réussissent à remettre la main sur la plupart des régions de Toscane, permettant à Rome de souffler un peu pour cette année. Cependant, en contrepartie, les musulmans n'auront pas été sots, ils ont concentré leurs attaques sur la Romagne et les régions plus au nord, et pour une dernière fois en une décade, sont approchés dangereusement de Venise, cette fois-ci plus que la dernière fois.

1180

Après un sursis d'un an, Rome est de nouveau affablée par un siège. Cette fois-ci toutefois, les milices sont assistées de militaires, ce qui aide dans une mesure raisonnable. En Romagne, la situation demeure stable, quoique toujours inquiétante pour Venise. Situation stable aussi en Toscane, après leur recul de l'an dernier, les Fatimides doivent revoir leur stratégie.

1181

Le siège se poursuit à Rome. La Toscane est de nouveau sécurisée par les chrétiens. Cependant, les années succesives de guerre ont anéantis villes et campagnes de la région. Les chrétiens reprennent en force en Romagne, et les musulmans sont dans leur pire position depuis 20 ans.

1182

29e année de guerre. Le front se déplace au centre de l'Italie. Insurrections mattées à Naples et dans le Spolète. Les Fatimides sont en pleine débandade, tandis que les chrétiens, fort de ses renforts, progressent bien. Une telle situation ne peut qu'être éphèmère, la supériorité numérique des Fatimides aura bien vite raison du concours de circonstances actuel.

1183

Ça y est. 30 ans que ce conflit ronge l'Italie. Le visage de cette péninsule sera changé pour de bon, tellement la guerre s'y aura ancré. Stabilisation du front, le retour de force Fatimide fait refouler les chrétiens. N'empêche que ceux-ci n'ont jamais été aussi en loin en Italie depuis le début du conflit. Nouvelles insurrections à Naples. Siège de Rome qui recommence de plus belle.

1184

Les chrétiens qui semblaient retomber dans la défaite l'an dernier se sont à leur tour ressaisient, et ont saisi toutes les possibilités d'avancées. Les forces chrétiennes continuent donc sur la vague qui depuis cette décennie leur font gruger les territoire sous occupation musulmane. Le Spolète et Naples sont déjà dans la mire des chrétiens, et les musulmans vivant en Italie sont épris de paniques et commencent déjà à quitter l'endroit. Le chaos se répend en territoires Napolitains alors que les chrétiens locaux se joignent aux milices chrétiennes.

1185

Siège de Naples. Les chrétiens n'ont jamais autant avancé depuis le début du conflit. Les musulmans ne lâchent cependant pas la mise, les combats redoublent d'ardeur et le nombre de victime s'accumule à une vitesse aberrante sur le front. Dans le Spolète, les chrétiens avancent moins rapidement que dans la région de Naples. Par contre, les avancées sont bonnes au Bénévent. Exode musulman vers la Sicile.

je leur offre de venir avec la basse-saxe.avec moi ils nauront pas a obeir au pape.tout en pouvant croire a la religion chretienne.

Vous comprenez vraiment rien, on veut pas détruire Rome, Gênes et Venise, on veut les reprendres, on veut pas plus les faire devenir musulmans, on veut juste qui soit dans notre territoire, ce qui veut techniquement dire qu'elles seraient a vous, les chrétiens aurais le droit d'y vivre, vous ne désirez dont pas pouvoir vivre a rome.

Le peuple catholique ne tolère pas les musulmans, et quoique vous disiez ils resteront fidèles au pape et trouveront intolérable que vous repreniez les villes catholiques d'Italie.

quil reste fidele au pape.et restez donc dans lignorance

j'offre a ses chrétien de venir dans mon pays

la basse-saxe ne veux que se servire de vous écouter la voi du seigneur rejoignez moi ou un autre pays chrétien ceux si vous guiderons mais les hérétique telle que la basse-saxe n'est pas un pays pour vous il reigne dans le rejet de chaqun de nous je vous implore de rester avec nous!

Je ne veut pas vous oportunez mais... le pacte que nous avons sigher était claire, vous en êtes totalement au courant et vous étiez conssantant, nous redonions rome, gênes et venise en échange du sud du st empire et de la paix, vous avez conssenti et donc n'avez pas de mot a dire sur ce fait, convainquer boheme de ne plus attaquer car c'était votre par du contrat.

Ce n'est ni moi ni d'autres catholiques qui sèment la pagaille en Italie, mais le peuple, et c'est toujours lui qui a le dernier mot.

Il n'y a aucune clause qui dit que nous ne pouvons plus réattaquer.

Maître du Jeu a écrit:

Ce n'est ni moi ni d'autres catholiques qui sèment la pagaille en Italie, mais le peuple, et c'est toujours lui qui a le dernier mot.

C'était le pape lui même qui a tenu les négociation, ne croivent t'ils pu au parole du pape, le porte parole de votre Dieu.

Bohême a écrit:

Il n'y a aucune clause qui dit que nous ne pouvons plus réattaquer.

Non mais, qu'avez-vous dans la tête, un poid chiche, une paix ne dur pas juste quelque petite année, sinon..., a quoi sert de faire la paix si elle est pour etre rompu dans la minute qui suis.

Woh là, ca va faire 17 ans cette paix

Wow, c'est quasiment imense,... dans les circonstence présente et en calculant la durée total de la Jihad 17 ans ce n'est pas beaucoup.

je n'aurai jamais cru dire cela mais les musulmans ont bien raison sur ce point.et vous pape vous n'etes meme pas digne de confiance.

Cette Jihad a durée 16 ans presque la totalité de la paix qui vien de se déroulé, la paix na duré que 17 ans.

Basse-Saxe a écrit:

je n'aurai jamais cru dire cela mais les musulmans ont bien raison sur ce point.et vous pape vous n'etes meme pas digne de confiance.

QUi êtes-vous pour parler, vous avez trahi l'église catholique!

Maître du Jeu a écrit:

Basse-Saxe a écrit:

je n'aurai jamais cru dire cela mais les musulmans ont bien raison sur ce point.et vous pape vous n'etes meme pas digne de confiance.

QUi êtes-vous pour parler, vous avez trahi l'église catholique!

c'est plutot l'eglise qui m'a trahi.

Arrêter donc, si cela aurait été vous qui nous auraient réattaqué, tous nos arguments n'auraient rien changé pour vous

je ne pouvais pas vous laisser prendre la moitie de mon territoire sans meme me dire pourquoi.

Vous n'aviez qu'à demander pourquoi

Ben techniquement il a pas eu le temps de demander pourquoi, vous l'avez excomunier avant.

Je lui avait dit de ne pas interférer avec les négociations, et lui se pointait sans l'autorisation. S'IL AVAIT DES REVENDICATIONS, IL N'AVAIT QU'À LES ÉCRIRE DANS LE SUJET DESTINÉ AUX REVENDICATIONS POUR LA PAIX DANS ENTRE CHRÉTIENS!!!

Sans parler que pourquoi vous, musulman, ne redonnez-vous pas les territoires de Bavière à la Basse-Saxe, vous sembler assez copain-copain pour agir ainsi, non!?

vous ne m'aviez jamais dit de ne pas interferer ladedans et si vous l'avez fait cetait ou?et quest ce que lantre chretien?(repondez a cette question entant que maitre du jeu).

Sa plairait a la Bavière d'être hérétique???

York a écrit:

Sa plairait a la Bavière d'être hérétique???

Pourquoi tu demande sa, tu est pas supposer encore etre chrétien.