Lettre envoyé aux Autorités de Mecklembourg

Votre Majesté,

Nos deux royaumes se doivent d'avoir des interêts communs et de mieux se connaitre. Il nous semble fondamentale de nouer entre nous des relations solides, qui nous amènerons à collaborer de manière plus étroite à l'avenir.

Il nous suffit de constater de la force, de la grandeur, et de la majestée de nos voisins pour aspirer à leur ressembler, et à vouloir le meilleur pour eux ! Nous sommes, avec la Poméranie, issus d'un peuple qui partage une grande histoire : celle de Clovis, de Charlemagne, et de Frédéric Barberousse. Avec eux, nous avons vu que nos familles et nos royautés n'étaient finalement pas aussi distinctes les unes des autres et que nous appartenions tous à un peuple aux flagrantes ressemblances : celui des germains.

Aussi souhaitons-nous signer avec vous l'alliance militaire défensive qui garantira la stabilité qui manque à nos puissance. Nous serrons ainsi prêts, ensemble, à affronter ceux qui à l'avenir, souhaiteraient s'emparer de nos terres.

Nous voulons aussi voir se nouer entre nos peuples une vive amitié, aussi souhaiterai-je vous demander personnellement, la main de votre fille. Ainsi accroitrons-nous l'influence et la grandeur de nos deux royaumes.

Pour finir, afin de vous prouver ma bonne foi, je souhaite donner à votre peuple la certitude d'un avenir libre et propre de toute agression étrangère. Le Royaume de Brandebourg proclamme une garantie, dés ce jour, sur le Royaume du Mecklembourg. Toute puissance étrangère vous assaillant, verra se dresser aux cotés de vos soldats, les combattants du Brandebourg, qui défendront vos terres !

Votre Majesté, avec les plus vifs sentiments d'amitié et de bienséance,

Le Mecklembourg accepte le traîté ainsi que le marriage proposé.

Sa majestée, le Roi Jobst de Morabie est fière d'annoncer le mariage de son cousin Sigismond de Luxembourg, avec son altesse, la fille du roi régnant en Mecklembourg.

Avec la fin du règne récente de Jobst de Morabie, Messire Sigismond de Luxembourg, est fier d'annoncé au monde, qu'il a formé une Union Personnelle avec la fille du roi régnant en Mecklembourg.

Il est donc en bonne posture pour régner conjointement sur les terres de Mecklembourg et de Brandebourg à la mort de son Beau-Père.

Le Brandebourg signe une Alliance-Militaire défensive avec le Mecklembourg.

Le Brandebourg proclame une Garantie sur les terres du Mecklembourg.

Pour vérification :

Avec la mort d'Albert III de Mecklembourg, précédent suzerain de Mecklembourg, le roi Sigismond de Luxembourg, Margrave de Brandebourg, réclame ce qu'il estime lui revenir de plein droit de part son mariage avec la fille du Roi Albert : le trône du Mecklembourg.

Il annonce ainsi que les membres de la famille d'Albert III serront reconnus au sein du Royaume de la Double Couronne de Mecklembourg et de Brandebourg comme une famille Royale à juste titre. Et donc qu'elle suivra les voies normales de succession au trône.

Le suzerain de Brandebourg estime en effet que les peuples de Mecklembourg et de Brandebourg ont un passé commun. Ils formeront ainsi le noyau de la fédération Germanique que Sigismond souhaite construire.

Le Mecklembourg n'aurait-il toujours pas de suzerain ?

Une crise de succession aurait en ce moment lieu en terres de Mecklembourg, ou les deux frères du comte défunt se disputent le trône.

Sinon, la fille du conte défunt étant enceinte, un descendant direct de votre famille royale naîtra sous peu.

Le Brandebourg revendique une fois de plus le trône de Brandebourg. Au vu de la querelle de succession entre les frères du comte, il cherche des soutiens auprès des nobles locaux pour obtenir accès à sa requête.

Le trône du Mecklembourg est désormais vôtre.

Le Brandebourg salue les choix de la noblesses du Mecklembourg, qui a sut agir pour le bien de la Grande Allemagne que veut construire Sigismond.

Sigismond de Brandebourg annonce qu'il gouvernera donc désormais en Mecklembourg. La grâce et la beauté sont parfois plus fortes que les armes.