Guerre d'Italie (1212-1242)

bien je suis pret a faire une entente avec vous cac je souhaite la fin de cette guerre.

Je propose les negociations.

Haha Francs, on sent le vent tourner?

Vous avez déjà causé trop de souffrances. Vous êtes sur le point de perdre cette guerre, tant pis pour vous, il ne fallait pas aider l'Italie.

Je ne cèderai pas un pouce de terrain tant que je n'aurai pas les îles Italiennes et une partie de la côte Ouest de l'Italie.

Je ne souhaite pas de négociations ! Vue mes pertes et la gourmandise de ses deux pays qui ont tant vendu les miens à la rapide, je préfère ne pas prendre de chances. Surtout que je crains les Francs d'une envie de prendre un monopole beaucoup trop étendu !
Alors Union Kalmar? Allez-vous participer à cette guerre pour aider votre allié ? Venez donc au lieu de nous faire tant voir qu'une alliance avec vous est inutile. Nous avons besoin de vous! Pourquoi fuir au moment où vous pouvez prouver votre dévotion pour vos alliés?

Mes troupes sont-elles arrivées sur le front?

empir byzantin, que venez vous faire ici, si sldjoukides t'attaque sache qu'il n'y aura que moi pour t'aider. et pour vous helvetie sachez que je suis pre a t'accorder les terres que je t'aprie.

Francs a écrit:

empir byzantin, que venez vous faire ici, si sldjoukides t'attaque sache qu'il n'y aura que moi pour t'aider. et pour vous helvetie sachez que je suis pre a t'accorder les terres que je t'aprie.

C'est trop aimable! Helvétie, il vient de vous envahir et de massacrer votre peuple, et il vous propose de vous rendre vos terres!

Je n'aurais de cesse que lorsque votre royaume sera disloqué et que votre arrogance se mettra en veilleuse!

massacrer son peuple??? t drole toi.je votait ien pour la paix au debut de cette guerre aussi. si tu es contre la paix c'est toi le plus sanguinaire ici.

Vous votez pour la paix mais massacrez des soldats avec vos armes.
Vous faites partie de l'alliance qui a assiégé la ville sainte de Rome!

Je veux l'arreter cette alliance justement
NON mais pour qui vous prennez vous; venez vous meler d'affaire d'autruis absolument pour le territoire et en plus se n'est pas par loyaute car en plustu as menace l'alliance contre qui je me battait presentement Je propose a cette alliance de laisser l'empire byzantin tout seul et je vous protegerez de lui si il vous attaque. Jirai meme jusqu' rembourser les dettes que j'a causé et redonner les territoie gagne (sauf la provence que je ne saurais a qui donne.

Francs a écrit:

Je veux l'arreter cette alliance justement

Oui, parceque vous sentez le vent tourner. Vous vous alliez avec les gagnants. C'est trop facile. Qu'est-ce qui nous dit qu'une fois la guerre gagnée, vous ne vous retournerez pas contre nous?
Non, vraiment.
Et je pense que mes ( nouveaux ) alliés seront d'accord avec moi.

hors propos et pis tu sais tres bien que pour les gagants je me serai mis contre l"italie. je suis tout se qui a permisa l'itali de survivre.. bien j'atend les reponses de venise et de helvetie et cette alliance ci.

Francs a écrit:

empir byzantin, que venez vous faire ici, si sldjoukides t'attaque sache qu'il n'y aura que moi pour t'aider. et pour vous helvetie sachez que je suis pre a t'accorder les terres que je t'aprie.

Juste pour te dire :
1) l'empire byzantin a d'autre alliers

2) Je n'est en aucun cas l'intention de l'attaquer, au contraire, jusqu'a tous résemment j'avais l'intention de mallier avec celui si.

Premièrement, je tiens à souligner que d'avoir lut les textes de Franc, m'a scié les yeux ! Je n'en reviens pas ! Relisez-vous parfois ce que vous écrivez où est-ce si dur que cela? Affreux...

Deuxièmement, je suis d'Accord avec l'Empire Byzantin, vu la souffrance que vous avez causé à mon peuple, si alliance devait être fait, je demanderais beaucoup plus que cela.

Ensuite, je ne désire qu'attendre ce que les autres diront, mais sentant le vent tourner point de vu de cette guerre, j'espère que vous en tiendrez leçon ! Les Francs n'ont cesse d'être arrogant, pourquoi ne pas apprendre de la sorte un peu? Nous, nous ne laisserons pas faire ! Nous sommes un peuple fier, et vos petites manigances, Franc, ne m'ont guère plus, sachez-le ! Surtout pas les rumeurs courant sur vos intentions.

J'espère que cette guerre aboutira... et que les vainqueurs ne soient pas de vous.

Après de longues années de réflexion, Le Glorieux Empire Danois-Norvégiens a pris une décision qui ne passera pas inaperçu, Le Glorieux Empire Danois-Norvégiens a embarqué dans cette guerre et en envoyant une partie de ses troupes se battre en Flandre, alors je prends place CONTRE la France,

1228

Riposte de l'Aragon, qui ne réussit qu'à stopper les avancées ennemies, sans pour le moins réussir à repousser ceux-ci. En Sardaigne et en Corse, l'Aragon abandonne ses positions au profit des Byzantins qui s'y installent, et commencent déjà à approvisionner Rome en troupes et en approvisionnements divers, dans le but de lancer des assaults en Toscane en repoussant le front. L'Union de Kalmar enverrait ses troupes en Flandres pour porter secours à la Confédération Germanique, mais le temps que les troupes de l'Union arrivent, la situation sera devenue encore plus précaire pour la Confédération, qui déjà se doit de reculer en Flandres, se devant de muter une partie de ses troupes à sa frontière avec l'Helvétie occupée, dans l'appréhension d'attaques franques. Les Bavarois agissent pareillement, mais cette année, les Francs n'auront pas beaucoup avancé, s'étant concentré à briser leur surplace près de la région Alpine, ce qui a échoué. Venise est occupée, les troupes Italiennes percent jusqu'en Aquileia. C'est la débandade pour les Croates, qui lancent un cri à l'aide aux Bavarois. Naples est aussi dans une situation critique, la ville de Naples est presque assiégée tandis que la côte Adriatique semble être perdue au moment actuel.

1229

La nouvelle Castille unie et le Navarre donnent des difficultés à l'Aragon, forcé de reculer dans les plateuax ruraux de l'ouest du pays. Les Byzantins débarquent massivement en Toscane, et contrecarrent alors le siège de Rome tout en perturbant les Italiens assez pour permettre aux ennemis de l'Italie de reprendre un avantage dans le Spolète et de reprendre Venise. Naples est conséquemment hors de danger. En Flandre, l'Union de Kalmar prend efficacement le relais aux troupes Germanique suite à leur récent débarquement. Les troupes de la Confédération Germanique, comme les troupes de la Confédération Bavaroise, tentent de contenir les Francs dans le territoire Helvète qu'ils occupent déjà. L'Helvétie se résout aux hauts monts alpins. Les Francs n'assurent cependant pas un contrôle optimal sur leurs territoires occupés.

1230

La Bretagne commence à faire face à une riposte plus violente de la part des Francs, qui limitent les avancées de ce dernier en Normandie surtout. L'Aragon et le Castille-León, en réponse à la demande papale, acceptent un cessez-le-feu pour permettre le libre cours de la Reconquista. Les tensions ne sont cependant pas appaisées. Les Byzantins sont repoussés en Toscane par les Napolitains et les Romains, mais la situation n'est que temporaire. Rome est toujours hors de danger, l'action se passant plus au nord. Les Italiens recommencent à faire pression dans le Spolète, alors que la région de Tarente est affablée de débarquements successifs de troupes Byzantines, et ce jusq'aux régions grecques du Reggio di Calabre. Venise est assiégée, les Italiens atteignent la frontière de l'ex-Kärnten mais n'avancent pas en Aquileia. Stabilité en Flandres avec le support de l'Union de Kalmar, Paris est toujours menacée. Dans le Champagne, les déplacements de troupes de la Confédération Germanique permettent la reprise de territoires Helvètes et du Champagne Francs, ce qui ressere l'étau sur Paris. Les Francs font toujours du surplace en Germanie, tentant d'assimier les territoires conquis au royaume. L'Helvétie est toujours en état de siège du haut des Alpes.

1231



1232

Situation dramatique pour les Francs dans le nord de leur nation. Désormais pleinement assistée de la Cornouaille, la Bretagne a pu maintenir sa position de relatif contrôle sur les territoires Normands, bien que la situation devienne inquiétante pour eux sur le front du Poitou. Profitant de cette occasion, la Haute-Normandie fut rapidement prise par l'Union de Kalmar aux dépends d'une progression vers Paris. Mais ce qui importe, c'est que les Francs ont définitivement perdu leur accès à la manche, et leur capitale n'est toujours pas hors de danger. Pour pallier à la situation, les Francs doivent desserer leur étau en Helvétie pour mieux se défendre, et jusqu'à présent, la Confédération Bavaroise en profite largement. En Italie, ça va mal pour beaucoup. Rome est encerclée, la ville de Naples, unique parcelle de territoire Napolitaine n'étant pas sous occupation ennemie, est sous le coup d'un siège. Venise, encerclée, est dans la même situation, alors que l'Italie menace les Bavarois en avançant dans le Kärnten à vive allure. Dans les Balkans, la guerre éclate de nouveau. Les Croates, les Hongrois et les Serbes ont fait front commun pour dammer le pion aux Eyalëts, chose rapidement faite vu la faiblesse du petit pays qui fut rapidement sous occupation presque complète, la capitale exceptée. Les Bulgares, quant à eux, ont déferlé dans une Thrace sans défense et atteignant rapidement le Philippopolis, ont isolé Constantinople du reste de l'Empire Byzantin. Les troupes Seldjoukides débarquent actuellement à Thessalonique en secours à ses alliés. Les Serbes ont aussi fait du tapage dans le Dyrrachion byzantin.

1233

21e année de guerre, guerre qui commence à prendre des aires de conflit historique tellement son ampleur est à couer le souffle. Dans le nord Francs, la Bretagne, la Cornouaille et l'Union de Kalmar font front commun, et réussissent à mettre en déroute une armée franque dispersée sur plusieurs centaines de kilomètres, de la frontières Bavaroise jusqu'au front que la Bretagne entretient au Poitou. En résulte le siège de Paris. Les Francs consolident difficilement leurs positions en Helvétie et sont une fois de plus forcés de reculer sous les pressions ennemies. Naples est tombée en entier sous le joug Byzantin, alors qu'un cessez-le-feu s'opère dans une Rome encerclée de toute part, mais qui n'est victime d'assault que lorsque ses soldats attaquent. Venise et l'Aquileia tombent, mais l'Italie, dont l'armée commence à souffrir du manque de financement et d'organisation, font du surplace dans les montagnes du Kärntent. Les Bavarois peuven en profiter pour continuer d'émettre leurs pressions sur le front Franc. La capitale des Eyalëts est toujours dans un état de siège, mais des renforts Fatimides seraient sur la voie de remplacer les renforts Seldjoukides, rappatriés avant même d'avoir atteint le front. Les Byzantins, ayant terminé leur boulot en Italie, rentrent aux Balkans où ils font face à l'état de Siège. Byzance est désormais assiégée par les Bulgares, tandis que les progressions de la Serbie et de la Croatie inquiètent, Thessalonique serait même menacée.

1234

Les troupes Valanciennes se dirigent directement vers le Languedoc, pour commencer à attaquer les Francs au nord comme au sud. Au nord, les Bretons réussisent à profiter de la panique Franque pour progresser au Poitou, alors que le siège de Paris et l'instabilité en Helvétie persistent. Les Italiens attaquent faiblement les Croates, mais s'occupent principalement à garder le pays calme. L'Italie, pays de commercant, est sur le point de déclarer faillite, ce qui laisse craindre le pire à la bourgeoisie, et plusieurs duchés et comtés songent à faire sécession pour éviter la crise économique. Les Hongrois cessent la guerre, rapidement les Bavarois répliquent en occupant les campagnes marécageuses du nord de ce même pays. Commençant les combats dans leurs territoires, les Byzantins semblent se retirer momentanément pour faire face aux barbares attaquant plus au nord. Conséquemment, les Bulgares ont du défendre leurs positions, alors que le Dyrrachion tombait et Thessalonique était presque assiégée. Débarquements Fatimides au Péloponnèse, alors que les Eyalëts sont complètement occupés.

1235

Panique du Languedoc jusqu'au Forcalquier alors que les troupes musulmanes de Valence débarquent massivement sur ses côtes laissées sans défenses. Pensant à des invasions musulmanes, les populations affolées fuient de toute part, laissant souvent le champs libre à Valence qui progresse rapidement. Paris est complètement encerclée, et désormais bombardée par des trébuchets venus tout droit de Germanie. Au Poitou et dans l'Anjou, alors que jusqu'à présent les Bretons et la Cornouaille avancaient lentement, l'arrivée de renforts Anglais conforte leurs positions, et leur permette d'avancer rapidement des les territoires Francs ruraux, jusqu'au nord de l'Auvergne aussi étonnant que cela puisse paraitre. En Helvétie, les Francs commencent à effirter leurs positions, de nombreuses enclaves se forment sur le territoire mal défendu qu'ils occupent, des milices germanophones, les Bavarois comme les Brandebourgeois, continuent de faire des pressions. Calme plat au Kärntent, alors que la Hongrie est presque en état de siège alors que les Croates assistés des Bavarois sèment la terreur en milieu rural. L'Italie demeure très instable, des dons monétaires controversés ne faisant qu'accentuer les appréhensions des commerçants qui continuent de faire pressions sur leurs comtés et duchés respectifs. À Athènes, les troupes Fatimides confrontent directement les Serbes et les Croates, qui réussisent à ralentir les avancées de ces derniers en direction des Eyalëts. Les troupes Byzantines attaquent la Thrace sous occupation Bulgares, pendant ce temps, Thessalonique est assiégée, mais vu que les troupes Bulgares sont occupées, Constantinople n'est plus sur le point d'être occupée.

1236



1237

Cessez-le-feu dans les Balkans, et reddition des Byzantins. Les troupes Fatimides postées au Dyrrachion, en direction des Eyalëts, sont conséquemment dans une impasse. La guerre continue en Europe de l'Ouest, alors que les fronts oscillent à peine dans une Italie au bord de la crise de nerf vu l'imminente venue d'une faillite officielle. Chez les Francs, le sud de la Provence tombe peu à peu sous contrôle de Valence, qui assure cependant difficilement le contrôle de tout le Languedoc. Une milice franque assez puissante s'est constituée pour les déloger. Les Francs réussissent à répliquer brutalement près de Paris, et ainsi empêche la chute de la ville. Cette dernière n'est cependant pas encore sauvée d'un siège. Les Francs sont contraints à continuer, lentement, leur retraite d'Helvétie. Stabilité sur le front rural franc. Un quart de siècle que les combats persistent.

1238

Les Balkans sont de nouveau en paix avec les négociations qui se déroulent bien du côté de l'abandon Byzantin des combats. Les troupes Fatimides supposées supporter les Eyalëts doivent rebrousser chemin vers le port d'Athènes pour plus tard redébarquer sur les rives de l'Eyalët. Les Valenciens consolident leurs positions, alors que Pise se déclare ville-libre, et que des rébellions éclatent à Gênes. Les combats s'arrêtent en Hongrie et les Bavarois campent sur leurs positions. Paris est encore dans une situation critique et l'afflux de troupes franques permet la stabilisation des autres fronts. La Normandie commence à devenir complètement assimiliée et endoctrinée à la cause Britanno-Germanique.

1239

Paix dans les Balkans, sauf aux Eyalëts. Les troupes Fatimides sont de nouveau sur la voie des Eyalëts. Cessez-le feu avec l'Italie. Les combats persistent en territoires Francs, Paris est sur le point de tomber tandis que l'Helvétie n'est plus occupée qu'au quart. Dans le sud, les Valanciens progressent dans le Midi, ils pourraient à brève échéance être rejoints par les Bretons progressant dans le Poitou et l'Auvergne assez rapidement.

1240

Les Fatimides débarquent aux Eyalëts, conséquence directe, les Serbes cessent les combats dans la région et se retirent des territoires. Paris tombe aux mains de l'Union de Kalmar et de la Confédération Germanique. Les armées Franques, désorganisées et impuissantes face à l'invasion, ne peuvent endiguer leur recul dans le bassin du Rhin.

1241

L'Helvétie est libérée. Joie et festivités à travers le grand-duché germanique en question. Chez les Francs, la situation est beaucoup moins à la fête, les Valanciens ayant joint les Anglo-Bretons au sud de Bordeau, retirant aux Francs tout accès à l'Atlantique.

1242

Éclatement des territoires Francs avec la déclaration de sécessions d'une poignée de comtés des massifs centraux, derniers bastions n'étant pas sous contrôle ennemi. Après exactement 30 ans de conflit, l'Europe de l'Ouest vient de terminer une des guerres dont l'ampleur aura été significative.

Maintenant les îles italiennes sous mon contrôle, j'aimerais savoir ce que Naples serait prête à m'offrir d'un point de vue territorial pour que j'envoie des troupes l'aider sur le front Italien...

Empire Byzantin a écrit:

Maintenant les îles italiennes sous mon contrôle, j'aimerais savoir ce que Naples serait prête à m'offrir d'un point de vue territorial pour que j'envoie des troupes l'aider sur le front Italien...

Ce n'était pas ce que nous avions convenu. En échange de votre aide, vous alliez avoir une partie de la côte ouest Italienne, et non une partie de Naples, qui est je rapelle notre allié dans ce conflit. Ne respecteriez-vous donc pas les accords que vous concluez? Le prestige dont vous semblez si fier pourra conséquemment s'évaporer!

Confédération Germanique a écrit:

Empire Byzantin a écrit:

Maintenant les îles italiennes sous mon contrôle, j'aimerais savoir ce que Naples serait prête à m'offrir d'un point de vue territorial pour que j'envoie des troupes l'aider sur le front Italien...

Ce n'était pas ce que nous avions convenu. En échange de votre aide, vous alliez avoir une partie de la côte ouest Italienne, et non une partie de Naples, qui est je rapelle notre allié dans ce conflit. Ne respecteriez-vous donc pas les accords que vous concluez? Le prestige dont vous semblez si fier pourra conséquemment s'évaporer!

Effectivement, c'est ce qui était prévu. Je pensais que Naples n'était pas parmi nos alliés mais avait été attaquée par l'Italie à part.

Francs a écrit:

hors propos et pis tu sais tres bien que pour les gagants je me serai mis contre l"italie. je suis tout se qui a permisa l'itali de survivre.. bien j'atend les reponses de venise et de helvetie et cette alliance ci.

Vous vous fichiez de négociez avant! Vous êtes prêt a négocier seulement parce que votre victoire est désormais moins assurés, je partage l'opinion d'Helvêtie et je n'ai aucune autre réponse a vous donner.

Retournement de situation.

Suite à une proposition trés alléchante de l'Italie, je déclare la guerre à l'alliance helvétie/confédérations/Naples/Venise,...etc, et je déclare apporter désormais mon soutien à l'Italie et aux Francs.
Par conscéquent, je concentre mes forces débarquées en Italie sur Naples et je rends à l'Italie les territoires que j'ai pu lui prendre ou occupper.

L'Aragon ne tolère pas la traitrise de son allier Italien et déclare la guerre à celui-ci, tout en priant la Castille de bien voiloir faire la paix en échange d'une libération du Zaragoza.

Empire Byzantin a écrit:

Retournement de situation.

Suite à une proposition trés alléchante de l'Italie, je déclare la guerre à l'alliance helvétie/confédérations/Naples/Venise,...etc, et je déclare apporter désormais mon soutien à l'Italie et aux Francs.
Par conscéquent, je concentre mes forces débarquées en Italie sur Naples et je rends à l'Italie les territoires que j'ai pu lui prendre ou occupper.

Vous n'êtes qu'un traitre qui ne pense qu'au gain personnel au lieu de l'alliance. Gare aux alliers des Byzantins, ceux-ci peuvent à tout moment se retournés contre vous!

Allons allons. C'est l'amertume qui vous fait parler ainsi. Je n'ai combattu qu'une paire d'années à vos côtés, ce n'est pas comme si vous étiez un allié de longue date.

Empire Byzantin, sachez seulement que vous risquez de regretter amèrement cela, puisque l'Italie honore que très rarement ses promesses. Sachez que si négociation devait avoir lieu, je ne souhaiterai que votre perte et vous traînerez dans la boue ! Les traitres, je les maudis, puisses-tu pourrir de milles offenses pour un tel geste démontrant ta gourmandise et ton avarice.

Je souhaite que ceux qui ne participent pas à cette guerre, remarque que si l'Italie gagne, ils paieront tous d'une manière ou d'une autre. Souhaitez-vous véritablement que ce genre de personnage et ceux qui l'accompagnent prennent le monopole de la majorité des territoires d'Europe? Allons réfléchissez bien ! Agissez contre eux avant qu'il ne soit trop tard.

Le Roi Mc Alan vous fait savoir qu'il rit de cette pitoyable alliance italienne.

Leur force militaire n'est, effectivement, pas à mettre en doute, mais ce trio ne saura durer très longtemps. Sitôt le dos tourné, l'un d'eux se fera lâchement poignarder par les deux autres.

Une alliance fondée sur des coup de traîtres ne saurait survivre.

Hélas, l'Écosse ne peut vous apporter son soutien pour le moment. Le pays est en reconstruction, aussi envisagerons nous une aide seulement lorsque nos dettes seront comblées.