1212En cet an de grâce 1212, l'Italie a été victime d'un complot sans précédent planifier de longue date. Presque toutes les nations partageant une frontière avec celui-ci lui ont de concert déclaré la guerre. Alors que les Gênois perpétraient des attaques surprises en Ligurie, la Provence et l'Helvétie s'occupaient de lancer les combats dans le Piemont. La riposte Italienne ne se fit pas attendre, et le siège de Milan et de Turin furent rapidement contrecarrés. Venise fut d'emblée victime d'un siège, alors que Naples et les États Papaux, faisant front communs, ont pu progresser relativement bien en Toscane en début d'année avant que se forme un front difficile pour eux à tenir. Les Bavarois ont envahi timidement la Vénétie, se concentrant davantage sur l'occuaption du Kärnten, effectuée en entier cette année sans trop de difficultés. Les Croates préparent une aide d'urgence à Venise, alors que l'Aragon prépare des débarquements à Gênes et dans le Forcalquier.
1213Les plus vastes mouvements de troupes depuis les Révoltes Italiennes et le Second Jihad s'opèrent en Europe du Sud. Différence majeure de ces précédentes guerre, l'ennemi est un chrétien. Gênes est arrêtée près de Pise, d'où l'Italie commence à repousser les assault ennemis. L'Helvétie a de bonne avancées dans les montagnes du centre-nord Italien, entre la Vénétie et le Piedmont, où la Provence peine à contenir les Italiens hors de ses frontières. Gênes, reliée à la Provence lors des combats de l'an dernier, est menacées d'être isolée de nouveau vue les avancées Italienne dans la région. Naples et les États Papaux maintiennent stable un front de forte ampleur en Toscane et dans les Marches. Les troupes de l'Aragon s'installent en Sardaigne, d'où ils pourront attaquer Naples et faire transiter des troupes Italiennes sans dangers pour attaquer le sud. Les débarquement aragonais au Forcalquier ont eu des succès modestes qui n'auront malheureusement pas durés. Les Croates commencent leurs attaques contre les Italiens assiégeant Venise, mais ceux-ci n'ont pas pu être délogé. Cependant, Venise est hors de danger à très court terme. Déferlant du Frioul, les Bavarois transpercent les défenses Italiennes du nord-est de la Vénétie.
1214Gênes est assiégée sous les assaults Italiens. La Corse et la Sardaigne sont occupés par l'Aragon, et les Italiens ont fait une percée en Ligurie; Gênes est conséquemment isolée de ses alliers. La Provence réussi à renverser la tendance et avance modestement en montagnes, endroit où l'Helvétie continue ses progressions, de plus en plus lentement toutefois vu l'opposition grandissante à laquelle elle doit faire face. Débarquements près de la ville de Naples. Recul de Naples et des États Papaux en Toscane, stabilité et même avancées de leur part dans les Marches. Arrivent ensemble les troupes Bavaroises et Croates directement sur Venise, qu'ils réussisent à sécuriser pour de bon.
1215Gênes continue d'être assiégée, mais tellement de troupes ennemies s'en occupe que la ville commercante en question ne pourra résister bien longtemps. L'Aragon entreprend de prendre la région de Salerne, au sud de la ville de Naples, jusqu'à présent, des débarquements victorieux dans ce pays sans défenses toutes les troupes de celui-ci se trouvant sur le front dans les Marches ont permi à l'Aragon des avancées très satisfaisantes. Stabilité sur le front Provençale et Helvètes, arrivés aux limites des montagnes rurales peu habitées. Faisant front commun, Bavarois, Croates et Vénitiens commencent des assaults musclés en Romagne, les avances ne sont cependant pas à la hauteur des attentes.
1216Chute prématurée de Gênes, complètement coupée d'approvisionnement. Dans la foulée de cette guerre massive, la ville n'aura pu résister bien longtemps. La ville de Naples est assiégée, l'Aragon est en bonne position, quoique les troupes commencent à souffrir d'attrition sévère vu la distance de leur pays à laquelle ils combattent. Rome est sur le point d'être assiégée, tandis que dans les Marches, le front est stable avec l'Italie. Au piedmont et dans les Alpes Italiennes, la Provence et l'Helvétie sont sur un pied d'alerte vu l'hypothétique attaque sur leur nation que pourrait poser les Francs dans les années qui viennent. Ainsi, certains territoires ont été abandonnés aux Italiens pour mieux consolider les positions les plus stratégique en vue de situations augurant être plus difficiles. Sur le front de la Romagne, léger recul des Italiens. La défaite majeure de ceux-ci a été de laisser progresser l'ennemi sur la côte, qui pourra bientôt faire front commun avec les Napolitains des Marches à la hauteur de l'Urbino. Cependant, la traversée du Pô pourra causer problèmes pour la suite des choses.
1217Cinquième année de guerre. Naples n'est plus assiégée, la population ayant pris les armes a rapidement eu raison des troupes de l'Aragon; affaiblies. En Aragon, la situation est critique alors que les troupes du Zaragoza déferlent sur le territoire sans ne recontrer aucune résistance. La Provence a vu le front reculer jusqu'à sa frontière, mais vu que les Francs ont refusé l'offre d'attaque Italienne, rien ne leur empêche de concentrer toutes leurs forces sur les Italiens. Les Helvêtes ont agit pareillement, avec de très modestes avancées, mais des avancées quand même. Les Italiens sont bloqués de la mer Adriatiques. Les Napolitains ont rejoint les Bavarois dans l'Urbino. Sachant que tous les efforts des troupes alliées ont été portée sur cet objectif cette année, le siège de Rome n'a pu être évité et un recul marqué en Romagne où les Croates gardait le front s'est enclenché.
1218Les troupes d'Aragons ont été massivement repoussées vers les côtes où elles ont été forcées de se rendre. Cependant, l'Aragon n'a pas totalement échoué sa tentative d'invasion de Naples; des zones d'occupation se maintiennent à Salerne et maintenant au Bénévent. Du sommet des montagnes qu'ils occupent de plus en plus rapidement, le Zaragoza éprouve de plus en plus de difficulté à maintenir un front dans des zones peuplées et bien défendues; Barcelone reste conséquemment très loin. Du côté de la mer Adriatique, les troupes Napolitaines, Bavaroises, Croates et Vénitiennes faisant désormais front commun, une reprise des avancées a pu êtres constatée en Romagne, quoique les destructeurs combats sont de mise pour de si faibles gains, les Italiens commençant peu à peu à prendre le dessu. Rome est toujours sur le coup d'un siège, et l'apport de milice Napolitaines et des soldats Italiens refusant d'attaquer la ville sainte a permis à Rome d'exceller dans sa riposte envers les assaults. Cependant, la situation est toujours critique. Parlant de situation critique, les Francs ont déclenché un chaîne en réaction en joignant les Italiens dans cette guerre. La Confédération Germanique et le Brandebourg déclarent conséquemment la guerre à l'Alliance de l'italie, créant une multitude de nouveaux fronts. Au Piedmont, un replis stratégique s'effectue de peur par la Provence, les Italiens récoltent des territoires perdus au début de la guerre. Les craintes de la Provence sont plus que fondés, les Francs envahissent violemment ses territoires à une vitesse inimaginable. Le Bourbon est déjà occupé et des avancées sont constatés jusqu'à Aix-en-Provence et dans le Rhône. D'ici deux ou trois ans, à ce rythme, ce sera l'occupation franque pour la Provence sans défense. Les Helvètes font faces à un même genre de situation, avec des reculs nécessaires en Italie; Turin ou Milan ne sont cependant pas laissés tombés, mais de peu. Un long font se constitue entre les Francs et l'Helvétie, front où les combats furent peu nombreux cette année. Dans le nord Francs, c'est dans les Flandres que les choses se sont agitées, avec des avancées massives de troupes Germaniques attaquant tel un rouleau compresseur. Des ajustements francs auront toutefois lieu l'an prochain pour corriger la situation. Les troupes Brandebourgeoises progressent actuellement vers le front Helvète.
1219Avec tous ces pays s'ajoutant à cette guerre désormais d'ampleur très importante, voici les nouveau rapports de force. Avec 100.000 soldats, l'Alliance de l'Italie a une force de frappe totale de 742.000. Pour ce qui est de l'Alliance ennemie, le nombre total de soldats s'élève à 70.000 soldats, et une force de frappe de 438.000. L'alliance Italienne possède conséquemment une avance estimable sur ses ennemis, mais la guerre et très loin d'être gagnée d'avance. L'Aragon réussi à maintenir l'occupation passive de quelques villes dans le Salerne, mais la plupart des troupes sont rappatriées en Aragon, où le Zaragoza occupe presque toutes les régions rurales montagneuses. Les troupes Napolitaines, Bavaroises, Croates et Vénitiennes réussissent à stabiliser le front en Romagne et plus au nord, alors que des avancées concrètes ont été constatées dans l'Urbino. Rome est de nouveau assiégée. Éclatement de la Provence. Une part massive des troupes Italiennes ont envahi le sud Provençal, alors que le reste a été pris par les Francs, dans un flot rapide et exagéré de troupes en nombre inestimable. La Provence n'a pu résister nulle part sauf dans la montagneuse Savoie où elle ne peut maintenir un front vu l'état de son armée. Sièges de Turin et de Milan, les Helvètes ne peuvent plus maintenir de front en Italie. Assistés des Brandebourgeois, les Helvètes réussissent à contrebalancer l'apport constant de troupes franques sur le front qu'elle partage avec ceux-ci, conséquemment le front demeure stable. La Confédération Germanique poursuit son invasion des Flandres, mais commence à affronter pas mal plus de résistance lorsqu'il s'agit de la région non-néerlandophone d'Amiens.
1220L'an dernier, la Provence avait été réduite à quelques miettes. Les restes, la Savoie, demeuraient inaccessible vu le terrain accidenté et le relief peu convivial. C'est pourquoi la Savoie, au lieu d'agir seule, a cette année joint l'Helvétie en tant que vassal. Retour en Aragon des troupes aragonaises; le Zaragoza commence déjà à éprouver quelques difficultés alors que les premiers combats réels commencent en Ibérie. Le siège de Rome se poursuit, recul de l'Alliance vénitienne en Romagne, avancées en Urbino et au centre peu peuplé et mal défendu de l'Italie. Les troupes Italiennes ayant participé au démantèlement de la Provence déferlent actuellement en direction de la Romagne pour repousser l'ennemi étant sur son territoire. Chute de Milan et de Turin aux Italiens, les Helvètes se retirent dans leurs territoires alpins. Les Francs peuvent désormais entièrement se concentrés sur eux, et déjà ont commencé à repousser ceux-ci et les Brandebourgeois jusqu'au Rhin, ce qui demeure mineur comme perte territoriale pour l'Helvétie. La confédération Germanique consolide ses positions au nord en envoyant quelques renforts aux Helvètes.
1221Le Zaragoza doit battre en retraite, et rapidement l'Aragon réussi à repousser ce dernier à l'intérieur de ses frontières. La situation est critique en Ibérie. Rome est de nouveau anéantie par un siège qui s'éternise. Les forces Italiennes, massivement de retour de Provence, réussissent à repousser l'ennemi de Romagne et d'Urbino, presque capable d'atteindre la mer Adriatique. Les Napolitains ne peuvent même plus maintenir des avances au centre de l'Italie devant le flot de troupes ennemies. En Helvétie, les Francs attaquent peu en Savoie, mais la situation est critique sur le Rhin. Si l'ennemi réussi à traverser le fleuve, ce sera la catastrophe pour la petite confédération germanophone. Malgré le soutiens d'alliés, les Francs exercent une pression de plus en plus difficile à pallier. Les Francs commencent aussi à tenter de chasser plus vigoureusement la Confédération Germanique des Flandres, mais toujours sans succès. Du moins, ils auront réussi à complètement arrêter les avancées de l'ennemi.
1222Carte de la situation et des avancées
1223Le Zaragoza est en état de siège sous les attaques de l'Aragon, la situtation est critique. Rome est toujours assiégée, mais la situation devient précaire alors que les Italiens ont rejoint l'Adriatiques. Les Napolitains peinent à maintenir leurs positions. Venise est menacée, les Italiens progressent en Vénitie malgré que l'armée ennemie combat toujours avec acharnement. Les Flandres demeurent hors de porté des Francs, qui eux progressent lentement sur le long front qu'ils tentent de tenir avec l'Helvétie. Cependant, une réorganisation de la disposition des troupes risque de faciliter la tâche à ces derniers d'ici la prochaine année.
1224Douzième année du conflit. Le Zaragoza est sous occupation complète, alors que Rome est dans une situation précaire vu le recul rapide de celui qui le soutenait presque en entier; Naples. Ce dernier verrait très bientôt pénétrer ses frontières des troupes Italiennes. Siège de Venise, le front se restabilise dans le Frioul, avec un renouvellement des plans d'attaques Croates et Bavarois. La Confédération Germanique progresse lentement dans la région d'Amiens, au nord de Paris, et réussi à déloger les Francs de l'Helvétie francophone. Les Francs, eux, progressent lentement dans les Alpes Helvètes, mais défoncent les territoires Helvètes germanophones, où le chaos semble semé pour de bon. Le Rhin est un obstacle du passé.
1225Rome tient toujours, approvisionnée par un étroit corridor d'occupation faisant le lien avec Naples, où la situation est critique, alors que les Italiens menacent sérieusement la ville de Naples. Venise est assiégée, alors qu'au nord c'est stable, avec quelques progressions dans les Alpes avoisinnantes des frontières Helvètes. Paris est menacée, mais la situation ne saurait duré, la Confédération Germanique devra déconcentrer son apport en troupe dans les Flanders pour éviter la catastrophe se préparant en Helvétie, où les troupes franques déferlent dangereusement dans le Wurtemburg.
12261227Les combats recommencent en Ibérie, les troupes Castillanes assistées de celles du Navarre ont commencé des attaques dans le nord du Zaragoza et dans le comté d'Aragon. La suprématie Catalane sur l'Ibérie, c'est ce qu'ils combattent avec acharnement actuellement. En territoire Francs, ce sont les Bretons qui ont commencé les combats, prenant par suprise les Francs, permettant ainsi la prise rapide de territoires de Normandie et du Poitou. Cependant, une riposte ne saurait tarder. La Confédération Germanique est sur le point de céder en Flandres où les Francs accentuent leurs pressions. L'Helvétie hors-Alpes est désormais presque entièrement occupée, la panique s'installe chez les Bavarois et la Confédération Germanique. Les Francs occupent un vaste territoire dont il devra s'occuper à consolider l'occupation, car avec la situation actuelle, le Wurtemburg occupé ne restera pas sage et stable bien longtemps. La rivalité Germanique-Franque est toujours vive chez les paysans. En territoire Italiens, Venise est sur le point de tomber et des reculs immodérés ont été constatés en Vénétie. Le fait est que les Bavarois rapatrient leurs troupes pour faire face aux probables assault Francs sur leur frontière ouest dans les années à venir. Ce sont donc les Croates seuls qui doivent tenir le front, ce qu'ils sont en bref incapable de faire vu leur faible nombre. Les troupes Byzantines manoeuvrent actuellement près de la Sardaigne, des débarquements seraient en cours. Rome est toujours assiégée, et Naples perd le contrôle du front dans la région de Spolète.
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La continuité de cette description de bataille est assurée en page 5 du présent sujet