Egypte

L'Empereur de Byzance demande à recevoir le Sultan d'Egypte à Constantinople, afin de discuter d'une alliance et d'une coopération.

En raison des occupations pressantes qui retiennent le Sultan, il ne pourra se rendre auprès de l'empereur. Mais ne pouvant décliner une aussi généreuse de invitation, il envoie son grand vizir, Al-Barmaki.

Moi, le Grand Vizir du Calife, Ahmad ibn Moussa Al-Barmaki, je me présente devant sa Majesté l'Empereur Byzantin, pour discuter des affaires entre nos deux nations.

L'empereur de Byzance n'acceptera de reprendre de telles négociations que si l'affront Ottoman a été puni. L'Empire est en souffrance, tous le savent et en profitent, il n'est pas question que nous négocions dans de telles conditions, les Ottomans sont une menace pour la paix et doivent payer.

Maintenant que les Ottomans ont expié leur faute et que la guerre de ce côté du Bosphore s'est arrêté. Nous croyons que le moment est propice à reprendre nos discussion.

Nous rappelons notre soutien à l'Empereur et nous lui propospns, au cas ou la situation s'aggrave (mais vu la bravoure des soldats grecs nous nous le pensons pas) de se réfugier ainsi que sa Cour à la résidence du Sultan à Jérusalem.

Nous vous remercions, et nous apprécions à sa juste valeur cette protection offerte au sein même de la ville Sainte, nous y penserons si Constantinople tombe.

En attendant, vous êtes assuré de tout le soutien de l'Empire Byzantin, et si vous avez besoin de quelque aide que ce soit (gérer un Empire aussi immense et puissant, bien que cela soit une marque de valeur et de Prestige, possède certaines difficultés que le Père et le grand-père de l'Empereur n'ont que trop bien connues...), n'hésitez pas à demander. Les portes de Constantinople vous sont ouvertes.

Nous sommes heureux de voir l'Empire se redresser à nouveau et nous vous remercions pour votre précieuse proposition de soutien.
Nous comptons beaucoup sur vous si un jour vient où les ennemis du Califat s'acharneront sur lui.

Aussi, nous voudrions installer un ambassadeur permanent à Constantinople pour l'entretien de nos relations diplomatiques.

Nous acceptons bien entendu que cet ambassadeur soit installé de façon permanente à Constantinople.

En gage de confiance entre nos deux nations, il ne sera pas surveillé ; en contrepartie, j'espère que vous comprenez que nous ne vous cachons rien et que vous ne tenterez pas d'en profiter pour vous immiscer dans quelque basse affaire d'espionnage. Nous n'en doutons pas ; c'est pourquoi vous êtes libre d'installer cet ambassadeur de façon permanente et sans surveillance.