Notre Europe s'est hâtivement plongée, il y a quelques siècles, dans des échanges économiques florissants. Un concours de circonstance particulier favorisa l'expansion des réseaux commerciaux, conséquence directe d'un relâchement temporaire des politiques anti-chrématistiques imposées par les différentes Églises d'Europe. Banques, courratiers de changes, compagnie et commerçants se sont exponentiellement multipliés. S'en est découlé les événements qu'aujourd'hui nous connaissons, et la place des échanges économiques dans l'économie n'auront jamais été aussi grands qu'en notre époque.
Mais voilà que cette façon de faire, tout d'abord propices à la richesse des hommes et des grandes nations, prouve ses premières lacunes. Compagnies et Royaumes sont surendettés et ne paient plus les intérêts, la surabondance du commerce et des produits tue l'économie.
Voilà pourquoi le regroupement de toutes les Banques d'Europe (Londres, Amsterdam, Paris, Grenade, Gênes, Rome, Venise, Prague, Constantinople, Moscou, Alexandrie, Bagdad), autant Orthodoxes que Catholiques que Musulmanes, ont pris la décision d'agir en bloc, en déclarant l'arrêt du financement de plusieurs compagnies sur la corde raide depuis trop longtemps.
Voici les compagnies qui subsistent après ces événements.
- Ligue des Commerçants d'Égypte
- La Compagnie Vénitienne
- La Grande Compagnie Andalouse de Commerce
- La Compagnie de l'Ordre de Saint-Benoît de Rome en libre Association avec la Ligue Gênoise de Commerce
- La Compagnie de Moscou
- La Compagnie Bordelaise
- Les Marchands Norvégiens de Stavanger
- La Compañía internacional de comercio español
- La Compagnie Arabe
Toute contestation pourront être adressées à la Banque de financement la plus proche. Cette réforme incluera de nouvelles statistiques ayant attrait à ces différentes compagnies.