1275
C'est une Italie en faillite qui a été victime, pour la deuxième fois en ce siècle de disgrâce, d'une attaque majeure de la par d'un voisin. C'est le Saint-Empire Romain Germanique qui, profitant de la précaire situation de son voisin, a pris les armes. Des monts alpins ont déferlé en début d'année les troupes Germanique, qui, n'affrontant que peu de résistance, n'eurent qu'à faire face qu'à des paysans révoltés disséminés sur le territoire et combattant inefficacement, conséquemment, n'eurent à faire face à rien de majeur. Turin et Milan aussitôt assiégé, puis pris en fin d'année, la Ligurie fut le dernier territoire visitié par les Germaniques cette année.
1276
Longeant la frontière Vénitienne, assiégeant Pise et déferlant en Romagne, les troupes Germaniques n'ont cette année pas ralenti leurs avancées, toujours fulgurante. L'Italie, en proie aux querelles intestines quant à l'attitude à adopter, ne réussit toujours pas à opposer une défense crédible au Saint-Empire
1277
Chute de Pise, de la Romagne et de l'Urbino. Certains groupes de milices se sont formés à la mi-année en Romagne, mais ils furent aussitôt réduits à néant par les troupes germaniques bien entraînées et nombreuses. L'Italie ayant déjà été par le passé partie intégrante du Saint-Empire, l'occupation risque de ne pas soulever un toller préoccupant. Ne reste plus que la Toscane à occuper avant que le royaume d'Italie fasse parti des livres d'histoire.
1278
Les nombreuses troupes du Saint-Empire auront eu raison d'un royaume Italien en faillite et désorganisé en moins de 3 ans seulement. L'occupation de la Toscane se fit rapidement, comme l'avait été l'occupation du reste du pays. Le peuple Italien semble se plier à cette défaite, énième depuis près d'un siècle pour l'Italie, dont la couronne est rattachée cette année à celle du Saint-Empire Romain Germanique. La petite Toscane, face à la concentration des forces ennemies arrivant de tous les fronts désormais inexistant, fut écrasée en moins de deux.