900
Haute-Bourgogne
Rapidement, les forces germaniques ont pénétrer le Wurtemburg sans aucune résistance due à cette attaque surprise. Toutefois le siège de Zurich fait toujours rage malgré que la Haute-Bourgogne soit quasiment totalement occupée.
Basse-Bourgone
Un front concentré de forces francaise ont rapidement occuper la côte méditéranéene de la Basse-Bourgogne, y compris les importante ville de Aix, Nice et Gêne. Au nord, le faible nombre de troupes, efficaces au début, ont dégénérés en une défaite dans la région de Genêve. Des troupes rebelles non-affiliées à l'armée Basse-Bourguignone, qui je mentionne, n'ont subi que peu de pertes et sont encore assez efficaces, ont profiter d'une brèche dans le front pour ainsi créer une enclave dans la région franque de Clermont-Ferrand, dans les monts du massif central.
901
Haute-Bourgogne
L'appui des troupes germaniques ayant fini leur tâche en Lotharingie permi aux Germains d'occuper entìèrement le petit territoire bourguignon. Toutefois, dès que l'archiduc local prêta sermont d'allégeance à la couronne germanique, des révoltes éclatèrent dans la capitale et dans le nord du pays. Ces événements ont marqué le retour au combat pour stabiliser la Haute-Bourgogne
Basse-Bourgone
Les troupes franque ont totalement occupé la côte méditéranéenne, au prix d'une sanglante bataille dans la région de Gap, donc les Francs ressortir vainceur, dans les Alpes de Savoie. C'est ainsi que les forces franques remonte les montagnes pour joindre l'autre front, au nord.
Au nord, le front ayant été défoncé et l'apport en soldats de Lotharingie tardant à arriver, la région de Clermont-Ferrand a été clairement occupée par un groupe rebelle. Les forces armée Basse-Bourguignonne, fuyant la défaite au sud, se réunissent à Genêve et fortifient la ville. Outre cela, les forces défensives de la Basse-Bourgogne, désorganisés par la défaites du sud, prennent le temps de se refaire, les troupes franquent ralenties par l'ascension des nombreuses montagnes alpines.
902
Haute-Bourgogne
La stabilisation de la Haute-Bourgogne fut plus aisée que prévu. La capitale, mal protégée par les rebelles, tomba qu'après peu de combats. Au nord, les rebelles dispersés en petits groupes tombèrent un après les autres, défavorisés par leurs faibles effectifs.
La prise de la ville de Nancy marqua la fin de la guerre en Haute-Bourgogne, qui fait désormais partie du glorieux royaume de Germanie.
Basse-Bourgone
Les rebelles ayant pris possession de Clermont Ferrand n'ont pas eu la même chance cette année. Des renforts francs ont totalement annihiler leurs faibles défenses et reprenant les territoire inopportunément perdus. Avec cet élan, les renforts francs avancèrent sans trop de résistance vers les Montagnes Savoyardes.
Résistance au sud. Les forces armées Sud-Bourguignonnes s'étant réorganisées, celles-ci purent établir une résistance au sud. Cependant, peu d'information subsiste sachant que la région Alpine est isolée du reste de l'Europe et il est très difficile de rentrer en contact avec.
Bien que la guerre de Bourgogne tire à sa fin, elle risque de nous réservé bien des surprises d'ici sa fin.
903
Basse-Bourgone
Il ne subsiste désormais plus que deux enclaves sous contrôle bourguignon; une dans la région du Mont Blanc, l'autre dans la région d'Annecy.
Celle située dans la région du Mont Blancs, désorganisés et inefficace, est un résidu des groupes rebelles ayant pris Clermont-Ferrand au début des hostilités. Battant en retraitre, les forces franques avancent difficilement sur ces terrains escarpés. Cependant, le nord de la Basse-Bourgogne est presque sous l'entier contrôle des Francs et les victoire de ceux ci est inévitable
Portrait moins reluisant au sud. Annecy a été siège des résidus rebelles du Centre et de l'Armée Royale bourguignonne. La ville fortifiée, la région préparée, un front subsiste à l'en tour de celle-ci. L'on y déplore de nombreuses victimes. Le nombre d'effectifs bourguignon est plus élevé que prévu et les faibles corps expéditionnaires envoyés dans les montagnes par les Francs risquent de ne pas faire taille à ce raz-de-marée rebelle...
904
Basse-Bourgone
La poche du Mont Blanc a été rapidement prise début 904 par quelques corps expéditionnaires Francs. Mauvaise nouvelle du côté d'Annecy.
Échec des troupes franques dans la région d'Annecy, dernier territoire sous contrôle Sud-Bourguignon. Les forces franques étaient réduites pour facilité l'ascension des montagnes. Cependant, c'est sur ce point qu'elles se sont fait prendre. Les 80.000 insurgés d'Annecy ont fait le poid contre les 4.600 soldats français de la région.
Toutefois, des renforts arrivent de par le nord, et une plus grande portion de l'armée ira dans les montagnes de par le sud.
905
Basse-Bourgone
Des attaques de faibles envergure contre Annecy se poursuivrent. Le problème majeur est leur auto-suffisance et leurs manufactures d'armes ainsi que leur apport en rebelles de partout au pays occupé.
Les soldats Francs, eux, sont mal approvisionnés dans les montagnes (Et les citoyens locaux sont réticent à aider par crainte des rebels)
Cependant, la situation est meilleure qu'elle le parait pour Francs et l'espace encore occupé par les insurgés d'Annecy diminu peu à peu.
906
Basse-Bourgone
6 ans après le début de la guerre, l'étau se resserre sur Annecy. La ville est de moins en moins bien approvisionnée par les campagnes environnante et le nombre élevé de victime a causé un effondrement de la défense de la ville, derniere place forte sud-bouguignonne. L'on attend la victoire franque dans l'année qui suit.
907
Basse-Bourgone
Prise de Annecy tot cette année par des troupes épuisées profitant de la défense défailliante des sud-bourguignon. Désormais, la Basse-Bourgogne fait donc conséquemment partie de la glorieuse nation franque!